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Nous continuons par le petit cloître

et sa galerie dite «du colloque» parce que, dimanches et jours fériés, les religieux avaient licence de rompre le silence pendant un bref moment,

nous pénétrons ensuite dans une petite cour qui mène à la cellule sur deux niveaux du sacristain.

Le local du bas se nomme la rasure du fait ou l’on y rasait les moines.

Nous empruntons la galerie est du grand cloître

 où cloître des morts.

Autour du pré toujours vert, où les religieux trouvaient sépulture, trois galeries distribuent les cellules des douze moines qui datent de 1610.

Chaque habitation de moine à sa marque individualisée par un signe alphabétique.

Les cellules se composaient de plusieurs pièces, dont une dévolue aux travaux manuel, une chambre pour le repos et la prière

ainsi qu’un jardin attenant où ils cultivaient des fleurs et des simples.

Notre cheminement nous amènent dans une pièce appelée la «bugade», équipée d’un puits et d’une grande cheminée et où les frères chartreux y lavaient le linge

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