-
Lors de nos escapades en tous genres, nous aimons allier plaisirs culturels et gustatifs.
Je vous offre nos bonnes voire très bonnes adresses approuvées.
Juillet.
Le petit chez soi
12 avenue René Coty
75004 Paris
Les 2moiselles
5 grande rue
92310 Sèvres (fermé)
Pizza Caravelle
5bis rue d’Alésia
75014 Paris
Monument café
1 rue du général Joffre
Quartier St-Louis
78000 Versailles
http://www.monument-cafe.com/versailles/
La mangette
38 rue Carnot
78000 Versailles
http://www.lamangette.fr/ (fermé)
Noodle corner
43 rue Saint-Antoine
75004 Paris
https://www.facebook.com/noodlecornerparis/
Octobre.
Le Garden
6 place de Langes
84100 Orange
http://www.restaurant-le-garden.fr/ (fermé)
L’agape
21 Place des Corps Saints
84000 Avignon
www.restaurant-agape-avignon.com
Pâtisserie Jouvaud
40 rue de l’évêché
84200 Carpentras
https://www.patisserie-jouvaud.com/
Pâtisserie Vernet
79-83 Rue Joseph Vernet
84000 Avignon
Novembre.
Loiseau des vignes
31 Rue Maufoux
21200 Beaune
Décembre.
Le Lyon de l’atlas
52 Avenue des Frères Lumière
69008 Lyon
https://www.facebook.com/pages/Le-Lyon-de-lAtlas/277757042301291
°koukou42°
2 commentaires -
...
L’appartement de la duchesse se constitue d’un ensemble représentatif du XVIIe siècle avec sa suite traditionnelle : antichambre, chambre à alcôve, cabinet et oratoire.
La restauration des boiseries et des peintures nous invite en 1641
et le remeublement se veut à l’unisson de ce décor authentique.
Dans l’antichambre aveugle le plafond du XVIIe siècle est peint à l’huile sur plâtre
et représente des caissons ornés de grotesques et de mascarons sur un fond brun-doré et est avec celui de la chambre, l’un dés rare subsistant à Paris
et les murs sont recouvert de tentures,
nous passons dans la chambre où les femmes nobles reçoivent d’où les sièges présents
et qui a conservé, presque intact, son décor d’origine «à l’italienne» avec son plafond en coupole qui occupe le deuxième étage,
le lit est placé dans l’alcôve
décorée de son plafond peint,
un meuble attire l’attention des visiteurs que nous sommes, un canapé usé cousu de fils d’argent qui faisait parti de la dot de la mariée.
Dans le petit cabinet attenant propice au repos,
son décor de miroirs aux murs disparu à été reconstitué en tissu rouge et il ne reste qu’un plafond peint dans un ovale représentant deux Amours,
nous finissons la visite par l’oratoire.
Nous reprenons le chemin pour la gare en déambulant dans le quartier où nous découvrons rue des Archives et par un portail ouvert, un cloître, celui des Billettes rattaché à l’église protestante du même nom.
Il s’agit du dernier cloître médiéval de Paris, entouré de voûtes au style gothique flamboyant et est uniquement ouvert à l’occasion d’expositions temporaires mettant généralement en avant de jeunes artistes.
Ainsi ce termine cette échappée belle riche de découvertes avant de reprendre le train pour Lyon.
°koukou42°
1 commentaire -
...
Mercredi 24 juillet.
En début de matinée nous quittons Versailles pour Paris. Après dépose de nos valises à la consigne, nous nous rendons au Centre des monuments nationaux afin de faire quelques achats et après renseignements, réserver une visite guidée de l’Hôtel de Sully où celui-ci à son siège.
Nous allons déjeuner à quelques mètres de là chez «Noodle corner» avant notre visite guidée de l’hôtel.
L’histoire de l’hôtel commence en 1624 quand le contrôleur des finances Mesme Gallet décide de se faire construire un hôtel particulier en plein Marais, quartier alors à la mode. Sa demeure ne manque pas de charme : elle est agrémentée d’un jardin et d’une orangerie, et donne accès à la place Royale (actuelle place des Vosges).
Maximilien de Béthune, premier duc de Sully, ancien ministre des finances et surintendant des bâtiments du roi Henri IV, rachète l’hôtel en 1634. Le vieil homme y vit ses dernières années.
Son petit-fils Maximilien, second duc de Sully, fait construire une aile supplémentaire à l’édifice en 1660 à l’ouest du logis côté jardin. L’hôtel de Sully porte encore aujourd’hui le nom de cette famille qui l’occupa jusqu’au XVIIIe siècle. Il passera ensuite entre différents mains et est transformé à plusieurs reprises au XIXe siècle, pour abriter commerces, artisans et locataires… Avant de renaître grâce à de nouveaux propriétaires plus soucieux de sa conservation avant de devenir la propriété de l’État en 1944.
Une fois passé le porche depuis la rue Saint-Antoine
on accède dans la cour d’honneur
et il suffit de lever la tête pour découvrir la profusion du décor sculpté représentatif de la fin de la Renaissance.
Sur la façade deux allégories représentent l’automne et l’hiver
et sur les ailes latérales des personnages qui symbolisent les éléments : l’air, le feu, la terre et l’eau.
Deux sphinges nous invitent vers le passage central qui conduit au jardin et aux étages.
Nous allons dans le jardin qui se distingue de la cour par son calme,
les quatre carrés du parterre remplacent les broderies de buis qui l’ornaient autrefois et qui donnent sur l’orangerie composé d’un corps central reposant sur cinq arcades encadré de deux pavillons.
La petit porte donne directement sous les arcades de la place des Vosges.
Nous empruntons l’escalier d’honneur orné d’un plafond en stuc à décor sculpté
et pénétrons dans la grande salle qui faisait partie de l’appartement du duc de Sully séparé autrefois en deux pièces.
De nos jours c’est une pièce de réunion et de travail transformée avec ses murs laquées de jaune flashy par l’intervention de l’artiste Daniel Dezeuze
où se détache un portrait en pied du duc
et des luminaires, clins d’œil aux fraises des costumes élégants à l’époque d’Henri IV.
Noodle corner
43 rue Saint-Antoine
75004 Paris
https://www.facebook.com/noodlecornerparis/
...
°koukou42°
2 commentaires -
...
la chambre de l’Impératrice, ancienne chambre de Louis XIV qui devint la chambre de l’impératrice Marie-Louise en 1810, qui a conservée son décor caractérisé par la présence de colonnes corinthiennes partageant la pièce en deux espaces distincts
rassemblant l’espace nuit et un salon meublé sous l’Empire.
Le seul meuble qui fait exception est le lit, qui fut celui de Napoléon Ier aux Tuileries et dans lequel mourut Louis XVIII en 1824;
le salon des glaces, cabinet où Louis XIV réunissait ses ministres en conseil.
Comme la plupart des espaces de Trianon, il a conservé son décor de miroirs
mais ses meubles vendus à la Révolution et remplacé par Napoléon en 1810.
Nous empruntons le corridor des gravures qui nous conduit dans la dernière pièce de notre visite,
le boudoir de l’impératrice Marie-Louise, a l’origine boudoir de Madame Mère en 1805, puis de l’impératrice cette pièce sera rattachée à l’appartement que Louis-Philippe s’était fait aménagé dans les anciennes cuisines de Louis XVI. Une partie du mobilier provient du boudoir du Petit Trianon.
Ainsi se termine notre découverte du domaine de Trianon et nous retraversons les jardins du château de Versailles en découvrant des éléments de décors afin de regagner notre logis.
...
°koukou42°
1 commentaire