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Par koukou42 le 13 Novembre 2019 à 12:08
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C’est sous un ciel enfin plus clément et ensoleillé que nous allons admirer la façade de la cathédrale depuis le parvis.
Au début du XXe siècle se pose le problème de l’aménagement dudit parvis. En 1904, l’architecte Edmond Douillet est chargé de construire une rangée de six maisons rappelant l’habitat des bourgeois du Moyen-Age.
Après le bombardement de 1940 seules sont restés debout la maison de l’architecte
et la «Maison du Pèlerin» à pan de bois et torchis.
Nous pénétrons en la cathédrale qui a une toute autre physionomie avec les rayons du soleil la traversant.
Puis nous en faisons le tour
par le parc de l’archevêché.
Retour à l’hôtel afin de récupérer nos bagages et reprise d’un train qui nous ramène après toutes ces découverte sur Lyon.
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Par koukou42 le 3 Novembre 2019 à 17:38
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Jeudi 23 février 2017.
En ce dernier jour et sous un ciel toujours plombé nous déambulons dans la ville en découverte de belles demeures dont l’ancien hôtel des trésoriers de France construit en 1634,
«la maison du Sagittaire» du XVIe siècle, ancienne maison de commerce située initialement à 500 mètres de son emplacement actuel, dont la façade démontée pierre par pierre après la seconde guerre mondiale a été reconstruite à l’identique,
contre «le Logis du Roi» ancien hôtel dit des Trois-Cailloux édifice en brique et pierre du début du XVIe siècle avec tour polygonale.
L’ancien théâtre édifice néoclassique du XVIIIe siècle.
Les maisons du quartier Saint-Leu,
puis nos pas nous mènent au jardin des plantes,
bordé par des immeubles de différentes factures.
En remontant vers le centre ville nous passons devant les moulins Passe-Avant
et Passe-Arrière qui attestés depuis le Moyen Age où il étaient tous les deux moulins à blés et dotés de roues à aubes.
Déjeuner au restaurant «L’échanson».
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Par koukou42 le 29 Octobre 2019 à 12:03
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La clôture du choeur se compose d’une suite de hauts-reliefs qui à l’origine se poursuivait tout autour du déambulatoire avant que des grilles soient posées au XVIIIe siècle.
Du côté sud réalisée entre 1490 et 1530 en pierre polychrome , se déploie les scènes illustrant la vie de saint Firmin et l’invention de ses reliques.
Le soubassement abrite deux monuments funéraires d’évêques morts au XVe et XVIe siècle.
Les haut-reliefs du côté nord, toujours de style gothique, sont plus tardifs (entre 1520 et 1531) et illustrent la vie de Saint Jean-Baptiste.
Afin de parachever notre visite, nous allons découvrir le trésor de la cathédrale. Disparu en 1793 à la suite de la Révolution Française, le trésor a été reconstitué au fil des ans. Il est composé de plusieurs reliquaires. (photos interdites).
Retour à l’hôtel avant d’aller dîner sous des trompes d’eau au restaurant «L’orée de la Hotoie ».
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Par koukou42 le 27 Octobre 2019 à 20:45
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Nous arrivons devant la façade de l’avant-chœur (vers 1760)
agrémentée d’angelots dans des médaillons.
Au moyen Age les fidèles se tiennent dans la nef et le transept .
Le vaste chevet correspond au choeur des chanoines- leurs stalles crées par des Maîtres-Huchiers du XVIe siècle prennent place dans les travées droites du vaisseau central -
et au sanctuaire.
Le maître autel étant placé dans l’abside et qui se caractérise par une gigantesque gloire construite en 1767.
A l’origine, l’abside était entièrement vitrée. Les aléas du temps font qu’il n’y a plus que le vitrail axial à posséder encore une verrière du milieu du XIIIe siècle.
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Par koukou42 le 20 Octobre 2019 à 18:18
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Nous pénétrons dans la nef
qui reprend le modèle des grandes cathédrale élevées à la veille du XIIIe siècle sur une élévation à trois niveaux.
Au sol se trouve un labyrinthe qui se déploie sur 240 mètres qui à été refait à l’identique a la fin du XIXe siècle.
Le grand orgue est placé sur la tribune originelle de style gothique flamboyant.
Dans la chapelle Saint-Sauve nous découvrons une statue en bois polychrome du XIe siècle représentant un Christ vêtu à la mode Byzantine.
La chaire à prêcher datée de 1773 est en bois peint et doré.
Le transept adopte des proportions aussi impressionnantes que la nef. Chaque façade est percée d’une immense rose.
Dans le bras nord du transept subsiste une pierre à laver les morts de la seconde moitié du XIIe siècle.
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