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Sous le choeur se trouve la crypte

où sont conservés les reliques de la sainte.

Nous sortons de ce haut lieu saint pour en faire le tour sous le soleil revenu

et admirer le paysage alentour et une vue sur Saint-Père

avant de faire une pause collations au très joli salon de thé ‘’Les macarons de Charlou’’ et de quelques achats de crus (a boire avec modération) et de reprendre la route direction les environs de Beaune et passer le week-end chez mes parents afin de clore cette échappée belle Bourguignonne.

"Les macarons de Charlou" 20 Rue Saint-Pierre, 89450 Vézelay

°koukou42°

Après nous être nourris de culture, nous aspirons à d’autres nourritures et reprenons notre route en direction de Vézelay que nous avions déjà découvert en 2010.

La colline où est implantée la commune est probablement occupée au moins dés l’époque gallo-romaine, mais son essor commence réellement au IXe siècle par la fondation de l’établissement bénédictin fondé en 860 par le comte Girart de Roussillon. Le pape Etienne proclame dés 1058 que le corps de Marie-Madeleine ‘’reposait’’ à Vézelay. A l’annonce de la présence de ses reliques, l’arrivée en masse de pèlerins permis le développement économique et celui d’un bourg conséquent autour du monastère.

Nous pénétrons dans le bourg par la porte Saint-Etienne,

achat d’un délicieux sandwich au jambon persillé dégusté tout en montant les jolies rues de la cité fortifiée

et en admirant les belles demeures médiévales

pour arriver sur le parvis de la basilique Sainte Marie-Madeleine.

La magie opère devant la façade qui date du XIIe au XIXe siècle car restaurée par Eugène Viollet-le-Duc.

Le grand portail central

possède un tympan du ‘’Jugement Dernier’’ sculpté en 1856.

Nous pénétrons dans le grand narthex, aussi dit Galilée ou avant-nef, ajouté vers 1140-1150 comme espace d’accueil pour les pèlerins.

Avant de découvrir la nef, nous passons par le portail central du narthex sculpté vers 1125-1130 et qui représente ‘’Le miracle de la Pentecôte’’.

La grande nef construite entre 1120 et 1140 nous offre une lumière abondante.

Le choeur et le transept sont construits à la fin du XIIe siècle dans le nouveau style gothique primitif après l’incendie de 1165 qui détruisit le choeur roman des années 1100. Cette partie est très lumineuse et s’oppose à la nef romane par son style très différent.

Sous le choeur se trouve la crypte

http://koukou42.blogspot.com/2010/05/escapade-bourguignonne-basilique-de.html

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Suite des découvertes archéologiques.

https://www.youtube.com/watch?v=nhVs9WAgrcI

Suite à cette découverte nous retournons vers Pierre-Perthuis et empruntons un petit sentier qui nous mènent à ‘’La roche percée’’ qui surplombe d’une quinzaine de mètre la Cure.

Cette arche de six mètres de haut sur huit mètres de largeur dont la formation est dû au revêtement silificié, plus dur et plus résistant à l’altération qui date d’environ 185 millions d’années, tendit que le granit lui c’est fracturé et dans lequel le perthuis c’est ouvert. C’est de cette roche que vient le nom du village, anciennement appelé Petra-Pertuisa.

Après nous être nourris de culture, nous aspirons à d’autres nourritures et reprenons notre route en direction de Vézelay que nous avions déjà découvert en 2010.

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En complément de cette visite in-situ, il y a un centre des découvertes archéologiques faites sur le site afin de mieux comprendre et d’expliquer la présence de ces sources et de ce site extraordinaire.

Voici un panel des découvertes.

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Vendredi 28 juillet 2017.

Nous quittons notre logis sous un ciel de plomb

pour nous rendre sur la commune de Saint-Père pour y découvrir un site archéologique découvert par le professeur René Louis (1906-1991) spécialiste de la littérature médiévale qui s’est particulièrement intéressé à une chanson de geste : Girart de Roussillon composée vers 1140-1150 et qui raconte une terrible bataille opposant Girart, qui n’avait pas encore fondé l’abbaye de Vézelay à son suzerain le roi Charles en un lieu nommé Valberon. Les recherches sur place lui on permit de découvrir

les ruines d’un site non pas médiéval, mais en partie gallo-romain : il s’agissait des vestiges d’un complexe thermal daté des Ie-IIIe siècles, avec portique, palestre...

Ce site au nom de ‘’Fontaines salées’’ doit son nom à la résurgence de sources d’eau chlorurée-sodique aux vertus curatives captée il y a déjà 4300 ans, au moyen de puits et de cuvelages en chêne toujours en place.

En complément de cette visite in-situ,

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