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Lundi 20 février 2017.
Nous voici de nouveau en partance par le train direction Paris.
Dépose de nos bagage à l’hôtel ‘’Magenta 38’’ avant d’aller déjeuner au restaurant ‘’L’étoile du Nord’’, petite déambulation en découvrant un immeuble art nouveau richement orné de plantes rampantes en céramiques
et un autre où trône majestueusement deux cariatides
puis direction la place du Trocadéro pour la visite du musée de l’Homme qui a pour objectif la compréhension de l’évolution de l’Homme et des sociétés,
en croisant les approches biologiques, sociales et culturelles
et aborde aussi bien l’étude des périodes les plus ancienne comme contemporaine et le devenir de l’Homme.
Dîner au restaurant ‘’Chez Jenny’’ afin de clore cette journée.
https://hotelmagenta38.com/fr/
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Lors de vos balades dans les bois, peut être que votre regard au niveau du sol y verra un plaisir gustatif en devenir : une petite fraise sauvageonne !
Quelle aubaine, il vous suffira de vous baisser pour ramasser et déguster... Malheureusement la déception sera au rendez-vous. Le goût n’y est pas du tout, et pour cause, ce n'est pas une fraise des bois mais une fausse fraise nommée des Indes.
Les feuilles ne vous aiderons pas à faire la différence.
Les fleurs vous serons d’un plus grand secours, elles ont leurs pétales jaunes (alors que les fraises des bois sont blanches).
Et s’il n’y a pas de fleurs, regardez de plus près le fruit. Il est de forme de sphère,
son pédoncule est rigide et dressé vers le ciel (contrairement à la fraise des bois qui est recourbé vers le sol).
Laissez donc cette traîtresse a la petite faune et aux oiseaux, sont goût médiocre n’incitant pas à en manger par poignées et tant mieux car elle est toxique (modérément mais quand même).
D'origine asiatique, Duchesnea indica s'est échappée des jardins où elle était cultivée comme plante ornementale et fait référence au botaniste français Antoine Nicolas Duchesne, auteur, en 1766, d’une Histoire Naturelle des Fraisiers.
°koukou42°
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sur le rocher des Doms et sa basilique du même nom qui domine à côté du Palais des Papes la ville.
Construite au XIIe siècle et remaniée au XVe et XVIIe siècle.
Son clocher est surmonté d’une vierge de plomb doré.
Puis nous allons déambuler dans le jardin qui occupe le haut du rocher, refuge naturel au-dessus du Rhône qui deviendra au XVIIIe siècle un lieu de promenade apprécié pour la qualité de son air et la vue qu’il offre sur son célèbre pont,
sur Villeneuve-lez-Avignon.
Au XIXe siècle un véritable parc à l’anglaise est créé, des arbre plantés, une grande terrasse,
des bassins et des statues agrémente notre parcours.
Le jardin offre ainsi un magnifique panorama sur la vieille ville.
Nous redescendons en ville afin de prendre une petite collation à ‘’La pâtisserie Vernet’’ avant de reprendre notre train pour Lyon.
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Jeudi 27 octobre 2016.
En ce dernier jours de notre séjour, nos pas nous mènent à travers la ville par le square Agricol Perdiguier,
d’hôtel particulier,
la chapelle des pénitents blancs,
l’église
et cloître des Carmes,
d’immeubles de différents époques
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Une allée bordée de cyprès
nous mène vers les vestiges des églises Saint-Martin et Saint-André (XIe & XIIe siècle)
de la nécropole du VIIe-XVIIIe siècles
et vers la chapelle romane de Sainte Casarie
au milieu d’une oliveraie.
Nous quittons ce havre de paix pour rejoindre notre moyen de locomotion en découvrant les remparts extérieurs du fort.
Retour à l’hôtel avant d’aller dîner au ‘’Bistrot à tartines Ginette & Marcel’’.
www.facebook.com/ginetteetmarcel
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